« Salut, France aimée, arbre de lumière, flamme d’espérance, école de démocratie, exemple de gloire, gloire de la terre et puits magnifique de sagesse, toujours offert à ceux qui souffrent de la faim et de la soif de grandeur. »

Quand Napoléon III fit ses adieux au bataillon de soldats qu’il envoyait au Liban défendre les chrétiens persécutés (si nous ne nous trompons, par les Turcs) il leur adressa ces mémorables paroles :

« Soldats, vous partez en petit nombre, mais votre prestige y suppléera ; car aujourd’hui quand les nations voient passer le drapeau de la France, elles savent qu’une grande cause le précède et qu’un grand peuple le suit. »
France, puisse-tu encore de nos jours mériter cet éloge glorieux.

On n'emporte en mourant que ce qu’on a donné.
L’orgueil déjeune avec l’abondance, dîne avec la pauvreté et soupe avec la honte.